Notre philosophie

La naturopathie selon le C.E.N.A.

Le C.E.N.A. est une école qui a pour vocation de transmettre un enseignement 100% Naturopathique de qualité pour permettre à chacun de retrouver le chemin vers l’équilibre et le bien-être.

Fruit de plus de 60 années d’expérience et de pratique de la naturopathie par Robert Masson et Sandrine Navarrete Masson, les connaissances transmises résultent d’observations rationnelles, de plusieurs milliers de consultations, de conseils prodigués aux personnes, et d’une logique de bon sens. Notre enseignement se veut pragmatique. Il s’appuie sur la physiologie, sur de longues années de pratique et d’observations afin de ne laisser aucune place à l’imprécision. Devenir naturopathe implique un enseignement rigoureux, dispensé par des praticiens expérimentés.

Au cours des séminaires et des cours par correspondance qui constituent notre enseignement, vous découvrirez ce qu’est la naturopathie, vous étudierez la nutrition, et une large part sera réservée à l’étude des dysfonctionnements de l’organisme, leurs causes et ainsi que des solutions naturelles adaptées (phytothérapie, aromathérapie, gemmothérapie, organothérapie, oligothérapie, mycothérapie, etc.).

Le C.E.N.A a pour ambition de former dans les meilleures conditions et avec le plus de rigueur possible tous ceux qui s’intéressent à la naturopathie, à la prévention, à l’équilibre et au bien-être.

« La naturopathie C.E.N.A. c’est l’écoute attentive, l’interrogatoire du mode de vie, et des conseils toujours adaptés. Ces conseils ne sont jamais traumatisants et sont assortis de méthodes naturelles données en fonction du psychisme et de l’organisme de l’individu qui attend du naturopathe un peu de réconfort, beaucoup de discernement et des méthodes naturelles précises aussi efficaces que le permettent les connaissances de la physiologie.»
Sandrine et Robert MASSON

Il est rappelé que le CENA ne prodigue aucun conseil ni consultation professionnels du type médical sous quelque forme que ce soit, ni ne promet aucune formation de cet ordre. Il ne peut se substituer en l’espèce à l’avis et/ou l’intervention d’un professionnel dûment habilité par un diplôme reconnu par les autorités compétentes.

Courrier aux praticiens

Par Robert Masson

Courrier aux praticiens,

Alors que partout les naturopathes échangent leurs techniques, se perfectionnent dans tous les domaines naturopathiques où chacun discourt des méthodes dans lesquelles il est passé maître, il faut parler du malade.

Pourquoi les méthodes appliquées correctement échouent parfois ?
Les méthodes échouent parfois car nous ne savons pas toujours quitter notre tour d’ivoire pour rentrer dans « la petite chaumière du cœur d’un malade ».
Devant toi, naturopathe, se tient un homme. Ce n’est pas toujours un problème de diététique, d’hygiène vitale, de vertèbres sub-luxées, de surmenage, de troubles organiques, c’est parfois un faible, un doux, un poète, un sentimental, un malheureux « cavalier de la malchance ». Il est venu vers toi avec ses grands yeux qui chaque jour perdent un peu de leur lumière.

Attention naturopathe, mon ami, ne le traite jamais de malade imaginaire (tu te ferais insulte, il n’y a pas de malade imaginaire), ne le presse jamais. Il est venu vers toi pour te parler, pour savoir peut être s’il existe encore des hommes capables d’entendre parler longtemps, longtemps d’autres hommes. Jamais tu ne devras le presser, laisse toujours un cœur se vider de sa souffrance et si l’on pleure souvent chez toi, c’est peut être, collègue, que tu es un grand bonhomme.

Attention aussi de ne jamais te prendre pour un pontife car, à partir de l’instant où l’on se croit grand (à tort ou à raison) on ne voit plus et on n’entend plus son malade, le bruit de la rivière qui coule en nous étouffe le murmure qui sort d’un cœur en détresse, et tout surpris tu apprendras peut être un jour que ce client qui fut pour toi un échec a été guéri par ce collègue débutant, presque “sans bagage”… et tu diras : c’est incompréhensible.
Oui, c’est incompréhensible scientifiquement, naturopathiquement même, mais humainement ce collègue a su s’oublier totalement. Il a su faire du problème du malade son problème. Il a su s’en occuper comme s’il était le SEUL malade de sa journée.

Dans ce monde du quantitatif, du rationnel, du matériel qui broie sans pitié les doux, les poètes, les intuitifs, tu dois savoir ré-allumer la petite flamme qui donnera le courage de vivre.”

ROBERT MASSON